HUGO BARRIOL
Ce Stéphanois de 30 ans a débuté par la batterie avant de se frotter au folk, aux grandes étendues et à la musique des Américains Bon Iver ou du montréalais Patrick Watson. La langue anglaise comme seul chemin (pour le moment) de sa sensibilité boisée, de ses fractures sentimentales et de sa grande mélancolie. Et c’est dans le métro parisien, le lieu de l’intranquillité perpétuelle, qu’il a trouvé, à l’instar de Keziah Jones, tout l’espace nécessaire à sa voix chaude et ces douces mélodies. Son premier album Yellow est une pépite ; il place Hugo Barriol dans le beau cousinage d’un Piers Faccini.