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De l’histoire de Robert Hébras, la conteuse dit longuement l’enfance, heureuse et insouciante avant le jour fatal. Puis la culpabilité qui poursuit tous les survivants. Elle fait revivre les débats qui nous assaillent tous : ne pas oublier, ne pas ressasser, vivre, transmettre. Comment ? Les temps courent. Et l’on retrouve la vie, la poésie, courir, chanter, danser, faire vibrer les mots et les images. Comment faire pour ne pas oublier et continuer le chemin ? Sans succomber à l’évocation de l’horreur ni se lancer dans l’insouciance ? Retrouvons avec bonheur Bernadète Bidaude qui nous avait émus l’an passé avec « De sang et de lait ».

 

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